Parmi elleux, on a d’ailleurs pu apercevoir une assemblée de “jeunes gens cools” qui animent la nuit parisienne (apprenti·e·s acteur·rice·s, mannequins, musicien·ne·s, auteur·rice·s), la clique germanopratine classique de Celine (Chiara Mastroianni et sa mère, Pete Doherty et son chien, Mathieu Kassovitz et son enfant, Benjamin Biolay, Jane Birkin, Etienne Daho, le duo Justice…). Sans oublier d’autres sphères comme celle du rock UK et US avec Lime Garden et Jack White, du hip-hop français et américain avec Gazo et Wiz Khalifa ou de la K-pop avec Lisa du groupe Black Pink. Soit une certaine idée de la diversité qu’on a eu malgré tout du mal à retrouver sur le catwalk. En effet, sur 61 looks présentés et portés par des mannequins à l’allure twink — maigres, imberbes et émacié·e·s —, on n’a compté que 6 models noir·e·s (dont trois light skins). Et ça, c’est pas très rock and roll.