Article publié
le 25 juin 2020
Depuis son arrivée à la tête de Louis Vuitton Homme, Virgil Abloh n’avait pas encore fait de collaboration. C’est désormais chose faite avec la ligne LV2, réalisée en association avec l’artiste japonais Nigo.
Pour sa première collaboration depuis son arrivée à la tête de Louis Vuitton Homme, Virgil Abloh s’est associé à l’artiste japonais Nigo, alias Tomoaki Nagao, styliste, Dj, producteur et homme d’affaires fondateur de la marque streetwear A Bathing Ape (Bape). Autant dire que cette collaboration est vraiment la rencontre attendue et plus que logique entre deux créateurs qui depuis des années partagent la même culture et les mêmes références.
Disponible à partir du 26 juin, la collection LV2 (rien à voir avec votre option langue au lycée, on vous rassure) déploie les codes iconiques de la maison Louis Vuitton (Monogram, Damier…) aux travers de produits phares revisités, allant de la maroquinerie au prêt-à-porter, jusqu’aux souliers et accessoires : sac à dos, sac iconique Keepall, total look denim, hoodie, sweat-shirt, porte-monnaire… Bref, vous avez l’embarras du choix pour compléter vos OOTD de cet été.
Collection disponible sur louisvuitton.com
LOUIS VUITTON COLLECTION LV2
Après un Milan en demi-teinte, Paris a frappé un grand coup cette saison. Entre l’arrivée au sein du calendrier de Willy Chavarria, 3.Paradis ou Charles Jeffrey Loverboy, et le retour de Lanvin, EgonLab et Jacquemus, retour en 15 points sur ce qu’il restera de cette fashion week plus politique qu’il n’y paraît.
Il y a 20 ans, Louis Vuitton s'associait pour la toute première fois à Takashi Murakami. Aujourd’hui, la maison française et l’artiste japonais célèbrent ces deux décennies d’amitié en réitérant leur collaboration au travers d’une nouvelle collection capsule mise en lumière dans une campagne incarnée par Zendaya. Rien que ça.
Marquée par les adieux de Dries van Noten, l’édition de la fashion week homme parisienne printemps-été 2025 s’est avérée plus sage et moins engagée que les éditions précédentes. Malgré tout, Paris aura au moins eu le mérite de prôner un message d’amour, de paix et d’unité — mais sans trop se mouiller. Un minimum plus que bienvenu en ces temps troublés et incertains où le monde renoue avec la guerre et la montée des nationalismes.